Une sirène sous la cascade est le titre de la publication dans un magazine papier qui me fît l’honneur d’une parution au mois de juillet.
Encore avec Lady Body, nous voici en forêt où plusieurs coupes ont été réalisées, et nous aurons, au détour d’un chemin deux grand tas de bois, l’un de troncs, l’autre de branches.
Je reste fasciné par la simple complexité de la nature, son relief, ses formes et ses couleurs, une complexité à la fois incongrue et légitime !
Suite de la séance précédente avec Lady Body. Direction l’arbre mort. La particularité de ce dernier, c’est que malgré qu’il soit encore debout, une partie de ses branches gisent à ses pieds.
Avec “Lady Body”, le thème était de travailler avec les arbres. Nous avons donc commencé par les arbres vivants. On dit qu’en chaque arbre vit une âme. En voici la preuve !
Je vois la fracture un peu partout. Du reste, je vis un peu avec elle. Entre les classes sociales, entre l’ancien et le nouveau monde, entre deux générations, dans les lignes rocheuses d’un relief encore épargné par l’Homme, dans les opinions et les priorités d’un monde à l’activité compulsive autant préoccupé par la question écologique que par son pouvoir d’achat, entre l’envie de bien faire et la difficulté d’assumer ses choix ou de sortir de ses ankylosantes et monotones habitudes…
En studio on ne tolère aucune approximation quant aux choix des poses, du cadrage ou encore de la lumière. Et à plus forte raison lorsqu’il s’agit du nu…
De toute évidence, Valérie n’a pas eu froid aux yeux : l’inclinaison de l’éboulis rocheux, découvert dans les Vosges, aurait rebuté plus d’un modèle.
L’objectif de cette séance avec Juliette (et quelques petites inclusions de Zakarie) est de fêter la beauté de la nature, du corps, de la symbiose de l’humain et de la nature, d’illustrer quelques notions de liberté, de simplicité, de complicité pour les duos.