Après le renouveau du printemps, le flamboyant de l’été, la majesté de l’automne, nous voici à la période de repos, d’introspection, de méditation de la forêt. En cycle perpétuel, la forêt naît de sa propre destruction, illustrant la prodigieuse force tranquille qui lui permettra de réaliser un nouveau cycle et d’entamer sa propre reconstruction.